18 nov. 2025
L'Égypte sécurise une nouvelle découverte de gaz dans le désert occidental.

Une nouvelle découverte de gaz dans le désert occidental de l'Égypte a ajouté un coup de pouce opportun au portefeuille amont déjà tendu du pays. Le puits, identifié comme Gomana-1, a rencontré plusieurs intervalles porteurs en gaz selon les données de logs électriques, avec des tests préliminaires indiquant une production d'environ 36 millions de pieds cubes par jour, selon le Daily News Egypt.
La découverte est actuellement en cours d'évaluation des réserves avant d'être intégrée dans la séquence de développement de l'opérateur.
Le puits est opéré par Khalda Petroleum Company, l'une des plus grandes coentreprises à terre de l'Égypte et un partenariat de longue date entre l'État et Apache, dont le portefeuille dans le désert occidental s'est élargi au fil des décennies de campagnes de forage continu. Les actifs de Khalda tendent à fournir des volumes à cycle rapide et à coût réduit, ce qui en fait un contrepoids important aux centres offshore plus grands et techniquement exigeants de l'Égypte.
Cette dernière addition fait suite à deux découvertes dans le désert occidental plus tôt en novembre. Le 8 novembre, le ministère du Pétrole a confirmé une nouvelle découverte de gaz dans le champ Badr-15, opéré par Badr El Din Petroleum, produisant environ 16 millions de pieds cubes par jour et une estimation de 15 milliards de pieds cubes de ressources récupérables, selon l'agence Anadolu. Une mise à jour ultérieure de l'agence Ecofin a mis en avant une production initiale de condensat d'environ 750 barils par jour. Ces découvertes sont petites individuellement, mais elles illustrent d'où proviennent actuellement les gains incrémentaux de l'Égypte : des champs onshore avec des cycles de forage rapides et des exigences en capital modérées.
Cette série de découvertes intervient alors que l'Égypte peine à répondre à la demande intérieure de gaz. La production dans les grands hubs offshore, en particulier Zohr, continue de ne pas atteindre les attentes antérieures, tandis que les opérateurs ont ralenti leurs activités en raison de l'accumulation de créances. Le résultat est une dépendance accrue du Caire envers toute addition à court terme qu'il peut mettre en service, aux côtés d'efforts amonts plus larges, y compris un investissement d'environ 6 milliards de dollars en pétrole brut mentionné dans les récents articles et le cadre de gaz de 35 milliards de dollars encore non résolu.
La découverte est actuellement en cours d'évaluation des réserves avant d'être intégrée dans la séquence de développement de l'opérateur.
Le puits est opéré par Khalda Petroleum Company, l'une des plus grandes coentreprises à terre de l'Égypte et un partenariat de longue date entre l'État et Apache, dont le portefeuille dans le désert occidental s'est élargi au fil des décennies de campagnes de forage continu. Les actifs de Khalda tendent à fournir des volumes à cycle rapide et à coût réduit, ce qui en fait un contrepoids important aux centres offshore plus grands et techniquement exigeants de l'Égypte.
Cette dernière addition fait suite à deux découvertes dans le désert occidental plus tôt en novembre. Le 8 novembre, le ministère du Pétrole a confirmé une nouvelle découverte de gaz dans le champ Badr-15, opéré par Badr El Din Petroleum, produisant environ 16 millions de pieds cubes par jour et une estimation de 15 milliards de pieds cubes de ressources récupérables, selon l'agence Anadolu. Une mise à jour ultérieure de l'agence Ecofin a mis en avant une production initiale de condensat d'environ 750 barils par jour. Ces découvertes sont petites individuellement, mais elles illustrent d'où proviennent actuellement les gains incrémentaux de l'Égypte : des champs onshore avec des cycles de forage rapides et des exigences en capital modérées.
Cette série de découvertes intervient alors que l'Égypte peine à répondre à la demande intérieure de gaz. La production dans les grands hubs offshore, en particulier Zohr, continue de ne pas atteindre les attentes antérieures, tandis que les opérateurs ont ralenti leurs activités en raison de l'accumulation de créances. Le résultat est une dépendance accrue du Caire envers toute addition à court terme qu'il peut mettre en service, aux côtés d'efforts amonts plus larges, y compris un investissement d'environ 6 milliards de dollars en pétrole brut mentionné dans les récents articles et le cadre de gaz de 35 milliards de dollars encore non résolu.
