22 déc. 2025
EDF confirme les estimations de production nucléaire française pour 2026/27, voit 2028 dans une gamme plus large.

L'opérateur nucléaire français EDF a confirmé ses objectifs de production nucléaire pour 2026 et 2027 dans une fourchette de 350 TWh à 370 TWh et a ajouté pour la première fois une fourchette pour 2028, a-t-il déclaré le 19 décembre dans un communiqué.
Pour 2028, l'opérateur des 57 réacteurs de France a fixé une fourchette de 345 TWh à 375 TWh.
Cette estimation prend en compte "l'incertitude accrue concernant l'évolution de la demande et les perspectives de modulation des réacteurs", a précisé le communiqué.
Les estimations reflètent également des programmes de maintenance majeurs, y compris l'achèvement des quatrième visites décennales des réacteurs de 900 MW et le début des quatrième visites décennales des réacteurs de 1 300 MW en 2026.
La production de 2025 devrait dépasser 370 TWh pour la première fois depuis 2019, grâce à une disponibilité des réacteurs considérablement améliorée et malgré l'augmentation de la modulation, qui consiste à réduire la production en période de surapprovisionnement et de prix très bas.
La modulation de la flotte nucléaire française a atteint 18 TWh au cours des six premiers mois de 2025.
L'opérateur du réseau RTE a indiqué dans un rapport récent que la modulation pourrait atteindre 50 TWh en 2030, par rapport à des niveaux annuels d'environ 30-40 TWh entre-temps.
À long terme, EDF s'engage à garantir une capacité de production de plus de 400 TWh/an, a-t-il déclaré dans le communiqué du 19 décembre, en faisant référence à la demande comme le facteur clé pour la production réelle.
Les analystes de S&P Global Energy CERA prévoient que la production annuelle n'augmente que légèrement en 2026 et 2027, pour atteindre respectivement environ 370 TWh et 364 TWh.
Les prévisions incluent désormais le réacteur Flamanville-3 de 1,6 GW après que le premier nouveau réacteur de France en une génération a atteint sa pleine puissance pour la première fois.
Le réacteur sera mis hors ligne en septembre 2026 pour une première grande révision estimée à durer environ un an.
Le prix de l'électricité française pour l'année suivante début décembre est tombé en dessous de 48 €/MWh, son niveau le plus bas depuis 2020.
Une perspective de températures légèrement plus froides pour début janvier a fait remonter le contrat Cal 2026 au-dessus de 50 €/MWh sur l'EEX.
Pour 2028, l'opérateur des 57 réacteurs de France a fixé une fourchette de 345 TWh à 375 TWh.
Cette estimation prend en compte "l'incertitude accrue concernant l'évolution de la demande et les perspectives de modulation des réacteurs", a précisé le communiqué.
Les estimations reflètent également des programmes de maintenance majeurs, y compris l'achèvement des quatrième visites décennales des réacteurs de 900 MW et le début des quatrième visites décennales des réacteurs de 1 300 MW en 2026.
La production de 2025 devrait dépasser 370 TWh pour la première fois depuis 2019, grâce à une disponibilité des réacteurs considérablement améliorée et malgré l'augmentation de la modulation, qui consiste à réduire la production en période de surapprovisionnement et de prix très bas.
La modulation de la flotte nucléaire française a atteint 18 TWh au cours des six premiers mois de 2025.
L'opérateur du réseau RTE a indiqué dans un rapport récent que la modulation pourrait atteindre 50 TWh en 2030, par rapport à des niveaux annuels d'environ 30-40 TWh entre-temps.
À long terme, EDF s'engage à garantir une capacité de production de plus de 400 TWh/an, a-t-il déclaré dans le communiqué du 19 décembre, en faisant référence à la demande comme le facteur clé pour la production réelle.
Les analystes de S&P Global Energy CERA prévoient que la production annuelle n'augmente que légèrement en 2026 et 2027, pour atteindre respectivement environ 370 TWh et 364 TWh.
Les prévisions incluent désormais le réacteur Flamanville-3 de 1,6 GW après que le premier nouveau réacteur de France en une génération a atteint sa pleine puissance pour la première fois.
Le réacteur sera mis hors ligne en septembre 2026 pour une première grande révision estimée à durer environ un an.
Le prix de l'électricité française pour l'année suivante début décembre est tombé en dessous de 48 €/MWh, son niveau le plus bas depuis 2020.
Une perspective de températures légèrement plus froides pour début janvier a fait remonter le contrat Cal 2026 au-dessus de 50 €/MWh sur l'EEX.
